The items in the Digital Collections of the University of Illinois Urbana-Champaign Library contain materials which represent or depict sensitive topics or were written from perspectives using outdated or biased language. The Library condemns discrimination and hatred on any grounds. As a research library that supports the mission and values of this land grant institution, it is incumbent upon the University Library to preserve, describe, and provide access to materials to accurately document our past, support learning about it, and effect change in the present. In accordance with the American Library Association’s Freedom to Read statement, we do not censor our materials or prevent patrons from accessing them.
Bibliothèque de l'Université, n°848. Écriture du xe siècle. Volume de 161 feuillets formé par la réunion de divers manuscrits (cf. Irmischer, Handschriften-Katalog d. K. Univ. zu Erlangen, 1852, p. 220). Les fos 80-146 contiennent Cicéron, de Oratore, copié au xe siècle, mais les fos 89-101, 118-122, 130-136, 140 141 ont été comblés au xv"" s. On trouve ensuite « Remi Favini de ponderibus, Prisciani de figuris numerorum », terminé par la souscr. en lettres onciales : « Venerando abbate Gerberto philosophante suus placens Ayrardus scripsit ». Il s'agit probablement d'Avrard, moine d'Aurillac, qui aurait copié ce texte entre les années 982 et 991. La partie ancienne du ms. de Cicéron contient I, 1-123 (lacune après « has causas »)
II, 19-90 (tum Catulus... exprimat)
92-233 (quid enim... oportere)
288-367 (colli- guntur... jusqu'à la fin)
III, 1-17 (lacune après « admo[ni- tum] »), 110-148 (nec genera... revortendum), 171-230 (quid ergo... jusqu'à la fin). Le f° 117 reproduit ici contient : « quæ neque est in te et quicquid est vocis... Ego vero inquit » (de Oratore, II, LV, 226-LVII, 233).
Bibliothèque de l'Université, n°848. Écriture du xe siècle. Volume de 161 feuillets formé par la réunion de divers manuscrits (cf. Irmischer, Handschriften-Katalog d. K. Univ. zu Erlangen, 1852, p. 220). Les fos 80-146 contiennent Cicéron, de Oratore, copié au xe siècle, mais les fos 89-101, 118-122, 130-136, 140 141 ont été comblés au xv"" s. On trouve ensuite « Remi Favini de ponderibus, Prisciani de figuris numerorum », terminé par la souscr. en lettres onciales : « Venerando abbate Gerberto philosophante suus placens Ayrardus scripsit ». Il s'agit probablement d'Avrard, moine d'Aurillac, qui aurait copié ce texte entre les années 982 et 991. La partie ancienne du ms. de Cicéron contient I, 1-123 (lacune après « has causas »)
II, 19-90 (tum Catulus... exprimat)
92-233 (quid enim... oportere)
288-367 (colli- guntur... jusqu'à la fin)
III, 1-17 (lacune après « admo[ni- tum] »), 110-148 (nec genera... revortendum), 171-230 (quid ergo... jusqu'à la fin). Le f° 117 reproduit ici contient : « quæ neque est in te et quicquid est vocis... Ego vero inquit » (de Oratore, II, LV, 226-LVII, 233).