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BRUXELLES. Bibliothèque royale, n° 5352. Écriture du XIe siècle. Ce manuscrit (5348-5352) est connu sous le nom de Gemblacensis, parce qu'il a appartenu au monastère de Gembloux avant d'entrer dans la bibliothèque des ducs de Bourgogne. Il se compose de 115 feuillets (mes. 0, 315 sur 0, 235) et contient Ad Herennium, De inventione, les Tusculanes et le Pro Archia [1]. Il a été soigneusement décrit dans l'édition du Pro Archia publiée par Èmile Thomas (Paris, 1883), p. 16-17. Le f° 114 v° reproduit ici contient un passage du Pro Archia, depuis « rem dicere commutatis verbis » jusqu'à « sed prae nobis ferendum
traimur omnes » (c. VIII, § 18 — XI, § 26). [1] On voit, par notre fac-similé, que le Gemblacensis est bien d'un siècle plus ancien que l'Erfurtensis (aujourd'hui à Berlin) dont Freund a reproduit tout le discours pro Milone par la lithographie (Breslau, 4838, in-4°).
BRUXELLES. Bibliothèque royale, n° 5352. Écriture du XIe siècle. Ce manuscrit (5348-5352) est connu sous le nom de Gemblacensis, parce qu'il a appartenu au monastère de Gembloux avant d'entrer dans la bibliothèque des ducs de Bourgogne. Il se compose de 115 feuillets (mes. 0, 315 sur 0, 235) et contient Ad Herennium, De inventione, les Tusculanes et le Pro Archia [1]. Il a été soigneusement décrit dans l'édition du Pro Archia publiée par Èmile Thomas (Paris, 1883), p. 16-17. Le f° 114 v° reproduit ici contient un passage du Pro Archia, depuis « rem dicere commutatis verbis » jusqu'à « sed prae nobis ferendum
traimur omnes » (c. VIII, § 18 — XI, § 26). [1] On voit, par notre fac-similé, que le Gemblacensis est bien d'un siècle plus ancien que l'Erfurtensis (aujourd'hui à Berlin) dont Freund a reproduit tout le discours pro Milone par la lithographie (Breslau, 4838, in-4°).