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FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne, XLIX, 7. Écriture de la fin du XIVe siècle. Volume de 266 feuillets de papier (mes. 0, 27 sur 0, 20), collationné en 1740 par Lagomarsini, qui le désignait par le n° 7. On a voulu y reconnaître, pendant longtemps, la main de Pétrarque
Bandini (Cod. lat., II, 464-465) avait répandu cette erreur que Voigt et Viertel ont réduite à néant. Pétrarque n'a même jamais connu les Lettres ad familiares. C'est une copie faite pour Coluccio, d'après le Laur. XLIX, 9 (cf. plus haut, pl. XXXIV, 2°). Plusieurs copistes y ont travaillé et les pages sont remplies d'une façon très inégale. Les fos 38 v° et 41 v° reproduits ici contiennent Epis- tulæ ad familiares « Cicero Appio pulcro salutem » jusqu'à « Quod tu si tanti facies » (III, IX et x, 1), puis « Ne ex omnibus virtutibus » jusqu'à « Marcus Cato qui summo ingenio » (IV, v, 6 — VI, 1).
FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne, XLIX, 7. Écriture de la fin du XIVe siècle. Volume de 266 feuillets de papier (mes. 0, 27 sur 0, 20), collationné en 1740 par Lagomarsini, qui le désignait par le n° 7. On a voulu y reconnaître, pendant longtemps, la main de Pétrarque
Bandini (Cod. lat., II, 464-465) avait répandu cette erreur que Voigt et Viertel ont réduite à néant. Pétrarque n'a même jamais connu les Lettres ad familiares. C'est une copie faite pour Coluccio, d'après le Laur. XLIX, 9 (cf. plus haut, pl. XXXIV, 2°). Plusieurs copistes y ont travaillé et les pages sont remplies d'une façon très inégale. Les fos 38 v° et 41 v° reproduits ici contiennent Epis- tulæ ad familiares « Cicero Appio pulcro salutem » jusqu'à « Quod tu si tanti facies » (III, IX et x, 1), puis « Ne ex omnibus virtutibus » jusqu'à « Marcus Cato qui summo ingenio » (IV, v, 6 — VI, 1).