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PARIS. Bibliothèque nationale, latin 5056. Écriture du XIe siècle. Volume de 136 feuillets (mes. 0, 34 sur 0, 23) contenant une partie des Antiquités judaïques de Josèphe, traduites en latin, puis le De bello Gallico de César, précédé du titre suivant (fo 89 v°): « Joppini qui et Josephi liber X Judaice antiquitatis explicit. Incipit liber Suetonii Tranquilli [2] victoriarum Gai Julii Cesaris multimodarum belli Gallici. Incipit de trimoda omnis Galliae divisione. » Il provient de l'abbaye de Moissac (diocèse de Cahors) et a fait partie de la bibliothèque de Colbert (n. 2957). Il est désigné par M dans les éditions de Frigell et A. Holder. C'est un manuscrit de la première classe, sans les lacunes VII, 22 et VIII, 51-53. Les souscriptions sont altérées: Julius Celsus n'est plus regardé comme un réviseur, mais comme un officier de César qui serait lui- même l'auteur des Commentaires. [3] Le f° 99 reproduit ici contient De bello Gallico, fin du livre II. [2] Sidoine Apollinaire (Epist. IX, 44) semble désigner par « opera Suetonii » les Commentaires de César. [3] De là vient qu'au XIIIe siècle Vincent de Beauvais cite des passages de César sous le nom de Julius Celsus.
PARIS. Bibliothèque nationale, latin 5056. Écriture du XIe siècle. Volume de 136 feuillets (mes. 0, 34 sur 0, 23) contenant une partie des Antiquités judaïques de Josèphe, traduites en latin, puis le De bello Gallico de César, précédé du titre suivant (fo 89 v°): « Joppini qui et Josephi liber X Judaice antiquitatis explicit. Incipit liber Suetonii Tranquilli [2] victoriarum Gai Julii Cesaris multimodarum belli Gallici. Incipit de trimoda omnis Galliae divisione. » Il provient de l'abbaye de Moissac (diocèse de Cahors) et a fait partie de la bibliothèque de Colbert (n. 2957). Il est désigné par M dans les éditions de Frigell et A. Holder. C'est un manuscrit de la première classe, sans les lacunes VII, 22 et VIII, 51-53. Les souscriptions sont altérées: Julius Celsus n'est plus regardé comme un réviseur, mais comme un officier de César qui serait lui- même l'auteur des Commentaires. [3] Le f° 99 reproduit ici contient De bello Gallico, fin du livre II. [2] Sidoine Apollinaire (Epist. IX, 44) semble désigner par « opera Suetonii » les Commentaires de César. [3] De là vient qu'au XIIIe siècle Vincent de Beauvais cite des passages de César sous le nom de Julius Celsus.