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BRUXELLES. Bibliothèque royale, n9 10057-10062. Écriture du XIe siècle. Volume de 146 feuillets (mes. 0, 23 sur 0, 15), formé par la réunion de deux manuscrits différents: 1° Cicéron, Catilinaires
2° Invectiva Ciceronis in Sallustium et (f0s 86 v° à 146) Salluste, Catilina et Jugurtha. Il a appartenu à l'église d'Egmont, on lit au f° 59 qui forme le commencement du second manuscrit: « Liber magistri Balduuini quem dedit ecclesiee Ekmundensi, » ensuite aux Jésuites de Bruges. Les éditeurs les plus récents de Salluste ne l'ont pas connu. [1] Le feuillet reproduit ici contient Salluste, Catilina depuis « fusas copias » (c. 60, 7) jusqu'à la fin et le commencement du Jugurtha. Gloses. Propriam culpam et ignaviam transferunt homines ad negotia id est ad naturam quod per eam socordes ac desides sunt, quod totum falsum est, quia nunquam eis jus aut tempus benefaciendi deest (Cette note se rapporte aux mots de la page située en face: Suam quisque actores culpam, etc. ) — Grassatur, id est ambulat, alias supra modum sevit. [1] Il y a encore un autre manuscrit de Salluste de la e du XIe siècle à la même bibliothèque (nos 10034-10037). Il est formé de 142 feuillets (mes. 0, 203 sur 0, 125). Salluste occupe les fos 1-72
Cicéron, de officiis, copié au XIIe s., les fos 73-116
enfin un traité de virtutibus, etc.. copié au IXe siècle, les fos 117-142.
BRUXELLES. Bibliothèque royale, n9 10057-10062. Écriture du XIe siècle. Volume de 146 feuillets (mes. 0, 23 sur 0, 15), formé par la réunion de deux manuscrits différents: 1° Cicéron, Catilinaires
2° Invectiva Ciceronis in Sallustium et (f0s 86 v° à 146) Salluste, Catilina et Jugurtha. Il a appartenu à l'église d'Egmont, on lit au f° 59 qui forme le commencement du second manuscrit: « Liber magistri Balduuini quem dedit ecclesiee Ekmundensi, » ensuite aux Jésuites de Bruges. Les éditeurs les plus récents de Salluste ne l'ont pas connu. [1] Le feuillet reproduit ici contient Salluste, Catilina depuis « fusas copias » (c. 60, 7) jusqu'à la fin et le commencement du Jugurtha. Gloses. Propriam culpam et ignaviam transferunt homines ad negotia id est ad naturam quod per eam socordes ac desides sunt, quod totum falsum est, quia nunquam eis jus aut tempus benefaciendi deest (Cette note se rapporte aux mots de la page située en face: Suam quisque actores culpam, etc. ) — Grassatur, id est ambulat, alias supra modum sevit. [1] Il y a encore un autre manuscrit de Salluste de la e du XIe siècle à la même bibliothèque (nos 10034-10037). Il est formé de 142 feuillets (mes. 0, 203 sur 0, 125). Salluste occupe les fos 1-72
Cicéron, de officiis, copié au XIIe s., les fos 73-116
enfin un traité de virtutibus, etc.. copié au IXe siècle, les fos 117-142.