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PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 8051, fol. 19 (Stace, Thebaid., IV, 838-V, 68 : « Spercheusque... nupta replesset »). Ecriture du IXe siècle. Volume de 65 feuillets (mes. 0,28 sur 0, 23), provenant de Corbie, ayant ensuite appartenu à Claude Dupuy. Cf. L. Delisle, Cab. des mss. II, p. 135. Il contient la Thébaïde et l'Achilléide. Le fol. 15 v° a été refait au XIe ou XIIc siècle. Employé pour l'édition de Lindenbrog (Paris, 1600), désigné par P dans celles de O. Müller (Lips. Teubn. 1870) et Kohlmann (Lips.,Teubn. 1879-84), ce manuscrit est regardé comme une des meilleures sources du texte. La souscription conservée à la fin du livre IV : CODEX JULIANI V[iri] C[larissimi] prouve qu'il a pour origine un volume de choix possédé et peut-être revu par un grand personnage de la fin de l'Empire romain. Serait- ce par hasard le Julianus auquel Priscien a dédié son grand ouvrage? Le texte que ce manuscrit fournit, confirmé souvent par Servius et Priscien, semble avoir été inconnu aux scoliastes. Voir Otto Müller, Electa Statiana, Berol. 1882, p. 12
Ph. Kohlmann, Philologus, XXXIV, 1876, p. 474-496.
PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 8051, fol. 19 (Stace, Thebaid., IV, 838-V, 68 : « Spercheusque... nupta replesset »). Ecriture du IXe siècle. Volume de 65 feuillets (mes. 0,28 sur 0, 23), provenant de Corbie, ayant ensuite appartenu à Claude Dupuy. Cf. L. Delisle, Cab. des mss. II, p. 135. Il contient la Thébaïde et l'Achilléide. Le fol. 15 v° a été refait au XIe ou XIIc siècle. Employé pour l'édition de Lindenbrog (Paris, 1600), désigné par P dans celles de O. Müller (Lips. Teubn. 1870) et Kohlmann (Lips.,Teubn. 1879-84), ce manuscrit est regardé comme une des meilleures sources du texte. La souscription conservée à la fin du livre IV : CODEX JULIANI V[iri] C[larissimi] prouve qu'il a pour origine un volume de choix possédé et peut-être revu par un grand personnage de la fin de l'Empire romain. Serait- ce par hasard le Julianus auquel Priscien a dédié son grand ouvrage? Le texte que ce manuscrit fournit, confirmé souvent par Servius et Priscien, semble avoir été inconnu aux scoliastes. Voir Otto Müller, Electa Statiana, Berol. 1882, p. 12
Ph. Kohlmann, Philologus, XXXIV, 1876, p. 474-496.