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PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 10317, fol. 52 (Stace, Thebaid., V, 1-16, précédé de l'Argument du livre V). Ecriture du Xe siècle. Volume de 132 feuillets (mes. 0, 30 sur 0, 23), autrefois Suppl. lat. 1670, contenant la Thébaïde et l'Achilléide avec gloses. L'inscription du premier feuillet : L. II. Continet Statium poetam, scilicet xij libros ejus permet de croire qu'il provient du monastère d'Epternach. Les fol. 133-134 (Theb. X, 635-755), 138 (Theb., X, 939-XI, 46, plus l'Argument), 139 (Theb., XI, 409- 469), 155 (Theb., XII, 236-295), 163 (Theb. XII, 716-775),ont été refaits vers le XIIe siècle sur des morceaux de parchemin palimpsestes et mal effacés (on voit les restes d'un lectionnaire). Le f° 174 (Achil. I, 529-662) a été ajouté vers le XIe siècle pour combler une omission du copiste après la 4e ligne du fol. 173 v°. Enfin le fol. 182 (Achil., II, 150-167) ne date que du XIe siècle. Kohlmann le désigne par Pc dans son édition de l'Achilléide (1879), et il regrette de n'avoir pu en donner une collation complète pour la Thébaïde (1884). Les gloses marginales de la Thébaïde sont de deux mains différentes
la plupart sont empruntées au commentaire de Lactantius ou Luctatius imprimé dans les vieilles éditions de Stace. K. Wotke a étudié ce ms. (Eranos Vindobonensis, 1892, p. 211-217).
PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 10317, fol. 52 (Stace, Thebaid., V, 1-16, précédé de l'Argument du livre V). Ecriture du Xe siècle. Volume de 132 feuillets (mes. 0, 30 sur 0, 23), autrefois Suppl. lat. 1670, contenant la Thébaïde et l'Achilléide avec gloses. L'inscription du premier feuillet : L. II. Continet Statium poetam, scilicet xij libros ejus permet de croire qu'il provient du monastère d'Epternach. Les fol. 133-134 (Theb. X, 635-755), 138 (Theb., X, 939-XI, 46, plus l'Argument), 139 (Theb., XI, 409- 469), 155 (Theb., XII, 236-295), 163 (Theb. XII, 716-775),ont été refaits vers le XIIe siècle sur des morceaux de parchemin palimpsestes et mal effacés (on voit les restes d'un lectionnaire). Le f° 174 (Achil. I, 529-662) a été ajouté vers le XIe siècle pour combler une omission du copiste après la 4e ligne du fol. 173 v°. Enfin le fol. 182 (Achil., II, 150-167) ne date que du XIe siècle. Kohlmann le désigne par Pc dans son édition de l'Achilléide (1879), et il regrette de n'avoir pu en donner une collation complète pour la Thébaïde (1884). Les gloses marginales de la Thébaïde sont de deux mains différentes
la plupart sont empruntées au commentaire de Lactantius ou Luctatius imprimé dans les vieilles éditions de Stace. K. Wotke a étudié ce ms. (Eranos Vindobonensis, 1892, p. 211-217).