The items in the Digital Collections of the University of Illinois Urbana-Champaign Library contain materials which represent or depict sensitive topics or were written from perspectives using outdated or biased language. The Library condemns discrimination and hatred on any grounds. As a research library that supports the mission and values of this land grant institution, it is incumbent upon the University Library to preserve, describe, and provide access to materials to accurately document our past, support learning about it, and effect change in the present. In accordance with the American Library Association’s Freedom to Read statement, we do not censor our materials or prevent patrons from accessing them.
PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 8658 A, fol. 27 v° (Sénèque, Epist. 21, 11-22,3 : « et opprimere... te non incidisse ») et fol. 128 [Epist. 88, 38 : « quam nihil illi... scire » et la souscription de Ragambertus). Écriture du IXe siècle. Volume de 128 feuillets (mes. 0, 16 sur 0, 115), autrefois Jac.Aug. Thuani[1] ensuite Colberlinus 6172 A. En tête du f° 3 (les deux premiers sont un fragment d'acte notarié) le titre en capitale : « continentur in hoc codice lucii annei senecae litterarum moralium ad lucilium libri numero XX »
mais on n'y trouve que les treize premiers livres. A la fin la souscription : RAGAMBERTUS QUAMVIS INDIGNUS LAICUS BARBATUS HUNC CODICEM SCRIPSIT[2] ». En marge quelquefois le signe ?. Désigné par P dans l'édition de Fickert, qui en donne les variantes assez inexactement. [1] Il est fort possible que le président De Thou ait tiré de l'abbaye de Corbie ce manuscrit de Sénèque, qui répondrait alors au n° 333 du vieux catalogue publié par L. Delisle (Cab. des mss., II, p. 440). [2] On lit de même clans le ms. 183 de Berne, qui contient les histoires de Josèphe en latin : « Rotbertus laicus quanivis indignus hunc codicem scripsit, in honorem S. Benedicti, jussu reverentissimi patris Abbonis ».
PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 8658 A, fol. 27 v° (Sénèque, Epist. 21, 11-22,3 : « et opprimere... te non incidisse ») et fol. 128 [Epist. 88, 38 : « quam nihil illi... scire » et la souscription de Ragambertus). Écriture du IXe siècle. Volume de 128 feuillets (mes. 0, 16 sur 0, 115), autrefois Jac.Aug. Thuani[1] ensuite Colberlinus 6172 A. En tête du f° 3 (les deux premiers sont un fragment d'acte notarié) le titre en capitale : « continentur in hoc codice lucii annei senecae litterarum moralium ad lucilium libri numero XX »
mais on n'y trouve que les treize premiers livres. A la fin la souscription : RAGAMBERTUS QUAMVIS INDIGNUS LAICUS BARBATUS HUNC CODICEM SCRIPSIT[2] ». En marge quelquefois le signe ?. Désigné par P dans l'édition de Fickert, qui en donne les variantes assez inexactement. [1] Il est fort possible que le président De Thou ait tiré de l'abbaye de Corbie ce manuscrit de Sénèque, qui répondrait alors au n° 333 du vieux catalogue publié par L. Delisle (Cab. des mss., II, p. 440). [2] On lit de même clans le ms. 183 de Berne, qui contient les histoires de Josèphe en latin : « Rotbertus laicus quanivis indignus hunc codicem scripsit, in honorem S. Benedicti, jussu reverentissimi patris Abbonis ».