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FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne. Laurent. XLVI, 7, fol. 147 v° (Quintilien, X, I, 86-95 : « te pensamus ceteri omnes... hic libros et doc[tissimos] »). Écriture du Xe siècle. Volume de 186 f. (mes. 0,325 sur 0,25) portant l'inscription : Werinharius episcopus dedit Sanctae Mariae puis liber S.Mariae ecclesiae Argen[tinensis], in dormitorio. Une autre note permet de conclure que ce ms. est un des quatre-vingt-onze qui étaient en 1372 enchaînés dans le dortoir de l'église de Strasbourg. Contient Quintilien complet. Bandini (Catal. bibl. Medic. II, p. 382), sur le témoignage de Baphaël Regius (an. 1491), croit que le ms. de Florence est celui qu'avait trouvé Poggio, tout en exprimant le regret que les lettres de Poggio et de Léonard Arétin traitant de cette découverte soient perdues. Cet exemplaire de Quintilien a dû entrer dans la bibliothèque des Médicis en même temps que les autres manuscrits strasbourgeois du legs de Werinharius (évêque de Strasbourg, de 1001 à 1029).
FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne. Laurent. XLVI, 7, fol. 147 v° (Quintilien, X, I, 86-95 : « te pensamus ceteri omnes... hic libros et doc[tissimos] »). Écriture du Xe siècle. Volume de 186 f. (mes. 0,325 sur 0,25) portant l'inscription : Werinharius episcopus dedit Sanctae Mariae puis liber S.Mariae ecclesiae Argen[tinensis], in dormitorio. Une autre note permet de conclure que ce ms. est un des quatre-vingt-onze qui étaient en 1372 enchaînés dans le dortoir de l'église de Strasbourg. Contient Quintilien complet. Bandini (Catal. bibl. Medic. II, p. 382), sur le témoignage de Baphaël Regius (an. 1491), croit que le ms. de Florence est celui qu'avait trouvé Poggio, tout en exprimant le regret que les lettres de Poggio et de Léonard Arétin traitant de cette découverte soient perdues. Cet exemplaire de Quintilien a dû entrer dans la bibliothèque des Médicis en même temps que les autres manuscrits strasbourgeois du legs de Werinharius (évêque de Strasbourg, de 1001 à 1029).