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Bibliothèque de l'Université. Manuscrit 4, fol. 40
Creator
Cornelius Nepos
Note
LOUVAIN. Bibliothèque de l'Université. Manuscrit 4, fol. 40 (Cornelius Nepos, XVII, Agesilas, 7-8 : « Nichil umquam domum suam... nichil accepit »). Écriture du XVe siècle. Volume de 57 feuillets de parchemin (mes. 0,20 sur0, 135) reliés à la suite de 126 f. de papier contenant « Sermones Effrem ». Provient de l'abbaye du Parc, de l'Ordre des Prémontrés (ancienne cote I, theca VII). Le manuscrit a pour titre : « Emilius Probus de laudibus dictum exterarum gentium. » Le copiste s'est arrêté (fol. 57) aux mots de la vie de Caton « quem separatim de eo fecimus ». Suivent quelques mots de Justin XXV, IV, 8 : « Pompeus Trogus XXV historiarum : Ptolomeum Pyrrhi Epirotarum regis... meruerit occisum esse. » Le fol. 57 v° est blanc. Signalé par C.-L. Roth en 1853 dans le Rheinisches Museuum (N. F. VIII, p. 626-639), ce manuscrit a été collationné pour l'édition critique de Halm. Il a conservé quelques passages omis dans le Gudianus, par exemple Alcib. 3,2: « Andocidi. Itaque ille postea Mercurius » et Ages. 8, 1 : « fingendo, nam et statura fuit humili et corpore ». Ces passages ont existé, suivant d'anciens éditeurs, dans deux manuscrits, celui de Daniel et un Leidensis. Mais on connaît fort mal le premier et le second semble n'avoir jamais existé. Les manuscrits conservés à Leyde (Voss. O 58
O 23
Q 52) sont tout à fait différents et sans aucune valeur suivant Cobet (Mnemosyne, 1881, p. 339). Le Parcensis forme donc, avec le Gudianus, le seul fondement du texte de Cornelius Nepos.
Bibliothèque de l'Université. Manuscrit 4, fol. 40
Creator
Cornelius Nepos
Note
LOUVAIN. Bibliothèque de l'Université. Manuscrit 4, fol. 40 (Cornelius Nepos, XVII, Agesilas, 7-8 : « Nichil umquam domum suam... nichil accepit »). Écriture du XVe siècle. Volume de 57 feuillets de parchemin (mes. 0,20 sur0, 135) reliés à la suite de 126 f. de papier contenant « Sermones Effrem ». Provient de l'abbaye du Parc, de l'Ordre des Prémontrés (ancienne cote I, theca VII). Le manuscrit a pour titre : « Emilius Probus de laudibus dictum exterarum gentium. » Le copiste s'est arrêté (fol. 57) aux mots de la vie de Caton « quem separatim de eo fecimus ». Suivent quelques mots de Justin XXV, IV, 8 : « Pompeus Trogus XXV historiarum : Ptolomeum Pyrrhi Epirotarum regis... meruerit occisum esse. » Le fol. 57 v° est blanc. Signalé par C.-L. Roth en 1853 dans le Rheinisches Museuum (N. F. VIII, p. 626-639), ce manuscrit a été collationné pour l'édition critique de Halm. Il a conservé quelques passages omis dans le Gudianus, par exemple Alcib. 3,2: « Andocidi. Itaque ille postea Mercurius » et Ages. 8, 1 : « fingendo, nam et statura fuit humili et corpore ». Ces passages ont existé, suivant d'anciens éditeurs, dans deux manuscrits, celui de Daniel et un Leidensis. Mais on connaît fort mal le premier et le second semble n'avoir jamais existé. Les manuscrits conservés à Leyde (Voss. O 58
O 23
Q 52) sont tout à fait différents et sans aucune valeur suivant Cobet (Mnemosyne, 1881, p. 339). Le Parcensis forme donc, avec le Gudianus, le seul fondement du texte de Cornelius Nepos.