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FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne. LXIV, 35, fol. 52 v° Q. Curce, IV, XVI, 23-V, I, 2 : « quo ex equo lapso... inter se cohaerent »). Écriture du IXe siècle. Volume de 124 feuillets (mes. 0,205 sur 0,19) auquel manque le premier quaternion. Le texte de Q. Curce commence (f. 1) aux mots : « VIX gladio futurum » [III, x, 6]. Au f. 115 r°, la seconde colonne n'a que deux lignes d'écriture « ejusdem juris esse debent qui sub rege victuri sunt », et c'est au f. 117 r° que reprend le texte : « Quousque inquit » [X, IV, 1]. L'espace laissé libre par le copiste a été comblé en partie (f. 115 v° et 116 r°), d'une main ancienne, par un poème provençal sur Alexandre : « Dit Salomon al primier pas... », qui a été publié en fac-similé par Monaci, Facsimili di antichi manoscritti, pl. 12-13. (Cf. P. Meyer, Alexandre le Grand, I, p. 1.) Déjà examiné par Nicolas Heinsius en 1635, il a été collationné, selon la note suivante : « Ego Antonius Fr. Gorius contuli anno 1730 », à l'usage de D'Orville. Décrit par Hedicke, De cod. Curtii fide, p. 7, not. 6 (qui se trompe en y reconnaissant une écriture lombarde), il est désigné dans les éditions de Hedicke et Vogel par F. Cf. Dosson, p. 315-316.
FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne. LXIV, 35, fol. 52 v° Q. Curce, IV, XVI, 23-V, I, 2 : « quo ex equo lapso... inter se cohaerent »). Écriture du IXe siècle. Volume de 124 feuillets (mes. 0,205 sur 0,19) auquel manque le premier quaternion. Le texte de Q. Curce commence (f. 1) aux mots : « VIX gladio futurum » [III, x, 6]. Au f. 115 r°, la seconde colonne n'a que deux lignes d'écriture « ejusdem juris esse debent qui sub rege victuri sunt », et c'est au f. 117 r° que reprend le texte : « Quousque inquit » [X, IV, 1]. L'espace laissé libre par le copiste a été comblé en partie (f. 115 v° et 116 r°), d'une main ancienne, par un poème provençal sur Alexandre : « Dit Salomon al primier pas... », qui a été publié en fac-similé par Monaci, Facsimili di antichi manoscritti, pl. 12-13. (Cf. P. Meyer, Alexandre le Grand, I, p. 1.) Déjà examiné par Nicolas Heinsius en 1635, il a été collationné, selon la note suivante : « Ego Antonius Fr. Gorius contuli anno 1730 », à l'usage de D'Orville. Décrit par Hedicke, De cod. Curtii fide, p. 7, not. 6 (qui se trompe en y reconnaissant une écriture lombarde), il est désigné dans les éditions de Hedicke et Vogel par F. Cf. Dosson, p. 315-316.