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PARIS. Bibliothèque nationale. Nouv. acq. latines 454. Écriture du ixe siècle. Volume de 81 feuillets (mes. 0, 24 sur 0,20), provenant de Saint-Martin de Tours (ancien n° 33), ainsi que l'a établi L. Delisle (Notices et extr. XXXI, lre p., p. 264-266). Vendu par Libri à lord Ashburnham en 1847, il a été racheté par la Bibliothèque nationale en 1887. Il contient Cicéron de Senectute et Somnium Scipionis, suivi du commentaire de Macrobe. A la fin, le copiste a mis la souscription : DE ERRORE EMENDATIONIS / Da veniam, lector, si quid male puncta notabunt / Vel si mendosum pagina texit opus. / Non mens prava mihi, sed fallax offuit error, / Quæ non sonte subest v?cula mihi culpe[1]. / Si le manuscrit n'est pas écrit « per cola et commata » comme le Paris. 6332 (voy. pl. XLIV, 1°), on aperçoit cependant encore un reste de cet usage dans l'espace que le copiste a réservé entre chaque phrase. Sur ce manuscrit, voir L. Delisle, Catalogue des manuscrits des fonds Libri et Barrois (Paris, 1888, p. 58-59) et S. G. de Vries, Commentatiuncula de codice Ciceronis Cat. maj. Ashburnhamensi, nunc Parisino (Lugd. Bat., 1889). Le f° 12 v° reproduit ici contient: « satis longum est... se esse carum » (De Senectute, c. 70-73). [1] Peut-être faut-il restituer « virgula, culpa mihi ». Il s'agirait du signe critique qui se plaçait en face des passages altérés. Ces vers devaient se trouver déjà dans l'original de notre manuscrit.
PARIS. Bibliothèque nationale. Nouv. acq. latines 454. Écriture du ixe siècle. Volume de 81 feuillets (mes. 0, 24 sur 0,20), provenant de Saint-Martin de Tours (ancien n° 33), ainsi que l'a établi L. Delisle (Notices et extr. XXXI, lre p., p. 264-266). Vendu par Libri à lord Ashburnham en 1847, il a été racheté par la Bibliothèque nationale en 1887. Il contient Cicéron de Senectute et Somnium Scipionis, suivi du commentaire de Macrobe. A la fin, le copiste a mis la souscription : DE ERRORE EMENDATIONIS / Da veniam, lector, si quid male puncta notabunt / Vel si mendosum pagina texit opus. / Non mens prava mihi, sed fallax offuit error, / Quæ non sonte subest v?cula mihi culpe[1]. / Si le manuscrit n'est pas écrit « per cola et commata » comme le Paris. 6332 (voy. pl. XLIV, 1°), on aperçoit cependant encore un reste de cet usage dans l'espace que le copiste a réservé entre chaque phrase. Sur ce manuscrit, voir L. Delisle, Catalogue des manuscrits des fonds Libri et Barrois (Paris, 1888, p. 58-59) et S. G. de Vries, Commentatiuncula de codice Ciceronis Cat. maj. Ashburnhamensi, nunc Parisino (Lugd. Bat., 1889). Le f° 12 v° reproduit ici contient: « satis longum est... se esse carum » (De Senectute, c. 70-73). [1] Peut-être faut-il restituer « virgula, culpa mihi ». Il s'agirait du signe critique qui se plaçait en face des passages altérés. Ces vers devaient se trouver déjà dans l'original de notre manuscrit.