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FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne, LXIII, 20, fol. 12 (T. Live, XXI, c. LXII, § 8-XXII, c. I, § 8). Écriture du Xe siècle. Volume de 120 feuillets mesurant 0,30 sur 0,26, contenant la troisième décade, mutilé après les mots « augur in locum ejus inau » (XXX, XXVI, 10). Bandini (Cat. cod. II, p. 695) dit, dans sa description : « ejusdem, ut videtur, manus ac superior XIX ». Il serait moins téméraire de faire un rapprochement avec le codex S. Marci 257 de Cicéron (cf. pl. XXXVII). Drakenborch l'apprécie en ces termes : « Omnium hujus partis post antiquissimum et sanctissimum Puteaneum optimus codex membran. » Gudius l'examina et en communiqua les leçons à Gronovius. Désigné par M dans l'édition de Hertz, ce manuscrit est, suivant A. Luchs, une copie du Reginensis.
FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne, LXIII, 20, fol. 12 (T. Live, XXI, c. LXII, § 8-XXII, c. I, § 8). Écriture du Xe siècle. Volume de 120 feuillets mesurant 0,30 sur 0,26, contenant la troisième décade, mutilé après les mots « augur in locum ejus inau » (XXX, XXVI, 10). Bandini (Cat. cod. II, p. 695) dit, dans sa description : « ejusdem, ut videtur, manus ac superior XIX ». Il serait moins téméraire de faire un rapprochement avec le codex S. Marci 257 de Cicéron (cf. pl. XXXVII). Drakenborch l'apprécie en ces termes : « Omnium hujus partis post antiquissimum et sanctissimum Puteaneum optimus codex membran. » Gudius l'examina et en communiqua les leçons à Gronovius. Désigné par M dans l'édition de Hertz, ce manuscrit est, suivant A. Luchs, une copie du Reginensis.