The items in the Digital Collections of the University of Illinois Urbana-Champaign Library contain materials which represent or depict sensitive topics or were written from perspectives using outdated or biased language. The Library condemns discrimination and hatred on any grounds. As a research library that supports the mission and values of this land grant institution, it is incumbent upon the University Library to preserve, describe, and provide access to materials to accurately document our past, support learning about it, and effect change in the present. In accordance with the American Library Association’s Freedom to Read statement, we do not censor our materials or prevent patrons from accessing them.
PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 9345, fol. 129 v° (Juvénal, VI, 641-VII, 10). Ecriture allemande du XIe siècle. Volume de 257 feuillets (mes. 0m,42 sur 0m,34), autrefois Suppl. lat. 1542. Il contient 1° Horace (r dans la grande éd. de Keller et Holder)
2° (fol. 95-105) Perse
3° (fol. 105 v°-163) Juvénal
4° (fol. 163 v°-257) Térence. Au verso du dernier feuillet est la note : « M. Ludulfus Erffordie Terentii comœdias exposui anno M CCCC LXIXo ab incarnatione Salvatoris in finem usque VII° ydus Mart. ». Parmi les additions faites sur le premier feuillet, on remarque les vers : Post octogenos et quinos corporis annos Transiit ad Superos Hugo venerabilis abbas Binas ante dies Maii quam prima veniret Anno centeno post mille sequente noveno... Cum sexagenis regimen tenuisset in annis Sumserat etatis quod lustris quinque peractis. Ainsi que l'a remarqué O. Keller (Neue Jahrb. f. Philol., 1885, p. 576), ce ms. porte à la fin de la 6e satire la souscription sui- vante déjà altérée : DECEM (leg. DECIMI) IUUENALIS EXPLICIT LIB. SECUNDUS. INCIPIT LIB. III, LEGENTE AEPICARPIO, SCRINBENTIS (leg. SCRIBENTE) EXUPERANTIO SERVO (peut-être pour SERVIO). Cette recension offre des points de ressemblance avec celle de Nicaeus (Voir Hosius, 1. c, p. 62 sqq.). Il est probable qu'à la fin de l'Empire un grammai- rien d'origine grecque, nommé Epicarpe, qui assistait dans sa copie un certain Exuperantius, trouvant mentionnée à ce passage la souscription de Nicaeus, en conçut l'idée d'indiquer à la même place son nom et celui de son collaborateur. M. Hosius pense que, copiant un ms. nicéen, ces deux personnages ont consulté un ms. semblable à celui de Pithou, mais ils ne disent pas avoir employé deux sources différentes, et leur modèle ne différait peut-être guère de la copie qu'ils en ont faite et qui nous est parvenue, avec les altérations inévitables des siècles, dans le ms. 9345. Désigné par H dans l'Apparatus de Hosius. Sur Epicarpius et Nicaeus on peut consulter F. Bücheler, Zur Geschichte der Ueberlieferung (Anhang 3. de l'édition de L. Friedlaender, Leipzig, 1895, t. I, p. 113-119).
PARIS. Bibliothèque nationale. Latin 9345, fol. 129 v° (Juvénal, VI, 641-VII, 10). Ecriture allemande du XIe siècle. Volume de 257 feuillets (mes. 0m,42 sur 0m,34), autrefois Suppl. lat. 1542. Il contient 1° Horace (r dans la grande éd. de Keller et Holder)
2° (fol. 95-105) Perse
3° (fol. 105 v°-163) Juvénal
4° (fol. 163 v°-257) Térence. Au verso du dernier feuillet est la note : « M. Ludulfus Erffordie Terentii comœdias exposui anno M CCCC LXIXo ab incarnatione Salvatoris in finem usque VII° ydus Mart. ». Parmi les additions faites sur le premier feuillet, on remarque les vers : Post octogenos et quinos corporis annos Transiit ad Superos Hugo venerabilis abbas Binas ante dies Maii quam prima veniret Anno centeno post mille sequente noveno... Cum sexagenis regimen tenuisset in annis Sumserat etatis quod lustris quinque peractis. Ainsi que l'a remarqué O. Keller (Neue Jahrb. f. Philol., 1885, p. 576), ce ms. porte à la fin de la 6e satire la souscription sui- vante déjà altérée : DECEM (leg. DECIMI) IUUENALIS EXPLICIT LIB. SECUNDUS. INCIPIT LIB. III, LEGENTE AEPICARPIO, SCRINBENTIS (leg. SCRIBENTE) EXUPERANTIO SERVO (peut-être pour SERVIO). Cette recension offre des points de ressemblance avec celle de Nicaeus (Voir Hosius, 1. c, p. 62 sqq.). Il est probable qu'à la fin de l'Empire un grammai- rien d'origine grecque, nommé Epicarpe, qui assistait dans sa copie un certain Exuperantius, trouvant mentionnée à ce passage la souscription de Nicaeus, en conçut l'idée d'indiquer à la même place son nom et celui de son collaborateur. M. Hosius pense que, copiant un ms. nicéen, ces deux personnages ont consulté un ms. semblable à celui de Pithou, mais ils ne disent pas avoir employé deux sources différentes, et leur modèle ne différait peut-être guère de la copie qu'ils en ont faite et qui nous est parvenue, avec les altérations inévitables des siècles, dans le ms. 9345. Désigné par H dans l'Apparatus de Hosius. Sur Epicarpius et Nicaeus on peut consulter F. Bücheler, Zur Geschichte der Ueberlieferung (Anhang 3. de l'édition de L. Friedlaender, Leipzig, 1895, t. I, p. 113-119).