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FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne, XLVII, 36, fol. 115 v° (Pline le jeune, Epist. VII, XXXIII, 7-VIII, I, 3 : « non advocati fidem... sed dii laetiora »). Ecriture du IXe siècle. Volume de 135 feuillets (mes. 0m,24 sur 0m,19) formé de 17 cahiers dont le dernier est un quinio. Il contient les lettres de Pline jusqu'à IX, 26, 8 « et alibi ??w???????? FINIT EPISTULARUM LIBER VIIII. Les titres des lettres et des livres sont en rouge. C'est de ce manuscrit que parle Maria Catanaeus dans la lettre à J. Sadolet, évêque de Carpentras, imprimée en tête de sa seconde édition de Pline (Mediolani, 1518), quand il fait mention d'un codex Pontifieius, appartenant alors à Léon X, « cum libris quinque Cornelii Taciti nuper inventis conjunctus ». (Cf. Plini epist., éd. Keil, Praefat. p. VI-VIII)
en outre il remercie Beroaldo, l'éditeur de Tacite, de le lui avoir communiqué. On peut en conclure que le Pline a la même origine que le manuscrit de Tacite dont il est question ci-dessous. Mais, si l'on compare les pages des mss. de Pline et de Tacite de notre planche CXLV, il n'est pas évident que les deux manuscrits soient l'œuvre d'un même copiste, malgré l'autorité considérable de Bandini, Keil et Paoli. Keil met ce manuscrit au premier rang pour les lettres de Pline et le désigne par M. FAC-SIMILÉ : C. PAOLI, Collezione fiorentina di fac-simili greci e latini, pl. 39 [fol. 54 : « habebis hanc interim... exul de senatore ». Epist. IV, 10.12].
FLORENCE. Bibliothèque Laurentienne, XLVII, 36, fol. 115 v° (Pline le jeune, Epist. VII, XXXIII, 7-VIII, I, 3 : « non advocati fidem... sed dii laetiora »). Ecriture du IXe siècle. Volume de 135 feuillets (mes. 0m,24 sur 0m,19) formé de 17 cahiers dont le dernier est un quinio. Il contient les lettres de Pline jusqu'à IX, 26, 8 « et alibi ??w???????? FINIT EPISTULARUM LIBER VIIII. Les titres des lettres et des livres sont en rouge. C'est de ce manuscrit que parle Maria Catanaeus dans la lettre à J. Sadolet, évêque de Carpentras, imprimée en tête de sa seconde édition de Pline (Mediolani, 1518), quand il fait mention d'un codex Pontifieius, appartenant alors à Léon X, « cum libris quinque Cornelii Taciti nuper inventis conjunctus ». (Cf. Plini epist., éd. Keil, Praefat. p. VI-VIII)
en outre il remercie Beroaldo, l'éditeur de Tacite, de le lui avoir communiqué. On peut en conclure que le Pline a la même origine que le manuscrit de Tacite dont il est question ci-dessous. Mais, si l'on compare les pages des mss. de Pline et de Tacite de notre planche CXLV, il n'est pas évident que les deux manuscrits soient l'œuvre d'un même copiste, malgré l'autorité considérable de Bandini, Keil et Paoli. Keil met ce manuscrit au premier rang pour les lettres de Pline et le désigne par M. FAC-SIMILÉ : C. PAOLI, Collezione fiorentina di fac-simili greci e latini, pl. 39 [fol. 54 : « habebis hanc interim... exul de senatore ». Epist. IV, 10.12].