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PARIS. Bibliothèque nationale, latin 7929. Écriture du IXe siècle. Volume de 133 feuillets [1] (mes. 0, 32 sur 0, 28) contenant les sept derniers livres de l'Énéide (depuis VI, 14, jusqu'à XII, 819). On sait, depuis l'article d'Émile Thomas (Revue critique, 11 oct. 1879, p. 286) que ce manuscrit et le Bernensis 172 sont deux parties d'un seul et même manuscrit désigné par P. Daniel sous le nom de Floriacensis (c'est- à-dire de Fleury-sur-Loire). Il a appartenu à P. Pithou, puis à Colbert (n° 1624). Le texte est souvent celui du Romanus
il a été examiné, surtout dans les lacunes du Romanus, par Ribbeck (qui le désigne par a) pour la première partie, et par E. Thomas (Essai sur Servius. Supplément 1879) pour la seconde. On remarque dans le Paris. 7929, comme dans le Bern. 172, une majuscule plus grande que les autres tous les huit vers
le vieux manuscrit dont il est la copie était peut- être en grosse écriture capitale avec huit lignes à la page à cause des nombreuses scolies
le Veronensis 38 ne contient que 13 lignes par page. Les nombreuses gloses sont en général de Servius ou du Pseudo-Servius. Voir Thilo (éd. Servius, præf. p. LIX-LXI). Le f 52 reproduit ici contient Énéide, VIII, 717—IX, 5: « Laetitia ludisque... ore locuta est. » FAC-SIMILÉS: (de la partie conservée à Berne): Müller, Op. cit., tab. VII, specim. VIII (Æn., II, 560-567). [1] Les fos -127-133 sont du XIVe siècle et contiennent Macer, De virtutibus herbarum. — L'explicit des livres 9, 10, 11, porte « Vergili», celui des autres livres « Virgili ». Il y a quelquefois des notes tironiennes, par ex. aux fos 60 v° et 61.
PARIS. Bibliothèque nationale, latin 7929. Écriture du IXe siècle. Volume de 133 feuillets [1] (mes. 0, 32 sur 0, 28) contenant les sept derniers livres de l'Énéide (depuis VI, 14, jusqu'à XII, 819). On sait, depuis l'article d'Émile Thomas (Revue critique, 11 oct. 1879, p. 286) que ce manuscrit et le Bernensis 172 sont deux parties d'un seul et même manuscrit désigné par P. Daniel sous le nom de Floriacensis (c'est- à-dire de Fleury-sur-Loire). Il a appartenu à P. Pithou, puis à Colbert (n° 1624). Le texte est souvent celui du Romanus
il a été examiné, surtout dans les lacunes du Romanus, par Ribbeck (qui le désigne par a) pour la première partie, et par E. Thomas (Essai sur Servius. Supplément 1879) pour la seconde. On remarque dans le Paris. 7929, comme dans le Bern. 172, une majuscule plus grande que les autres tous les huit vers
le vieux manuscrit dont il est la copie était peut- être en grosse écriture capitale avec huit lignes à la page à cause des nombreuses scolies
le Veronensis 38 ne contient que 13 lignes par page. Les nombreuses gloses sont en général de Servius ou du Pseudo-Servius. Voir Thilo (éd. Servius, præf. p. LIX-LXI). Le f 52 reproduit ici contient Énéide, VIII, 717—IX, 5: « Laetitia ludisque... ore locuta est. » FAC-SIMILÉS: (de la partie conservée à Berne): Müller, Op. cit., tab. VII, specim. VIII (Æn., II, 560-567). [1] Les fos -127-133 sont du XIVe siècle et contiennent Macer, De virtutibus herbarum. — L'explicit des livres 9, 10, 11, porte « Vergili», celui des autres livres « Virgili ». Il y a quelquefois des notes tironiennes, par ex. aux fos 60 v° et 61.