The items in the Digital Collections of the University of Illinois Urbana-Champaign Library contain materials which represent or depict sensitive topics or were written from perspectives using outdated or biased language. The Library condemns discrimination and hatred on any grounds. As a research library that supports the mission and values of this land grant institution, it is incumbent upon the University Library to preserve, describe, and provide access to materials to accurately document our past, support learning about it, and effect change in the present. In accordance with the American Library Association’s Freedom to Read statement, we do not censor our materials or prevent patrons from accessing them.
PARIS. Bibliothèque nationale, latin 10307. Écriture du XE siècle., Volume de 246 feuillets (mes. 0, 34 sur 0, 26) contenant (f 50-245) les oeuvres de Virgile avec les commentaires de Servius. Auparavant se trouvent reliés la préface de Sedulius, le poème de Juvencus et l'épitaphe d'Elbert, archevêque d'York. Il a été consulté par Heinsius, Ryckius et Maswich (voir E. Thomas, Essai sur Servius, p. 304). Certaines variantes se trouvent mentionnées dans l'édition de Burmann avec la lettre R. Tout le volume est écrit sur deux colonnes
l'une contient le texte de Virgile, l'autre le commentaire de Servius. Il a appartenu jadis à la bibliothèque de Leyde, puis a porté, dans le Supplément latin, la cote 1653. Le f° 72 reproduit ici contient Géorgiques II, 66-99: « Fraxinus... ulla. » Le texte de Servius se rapporte aux vers 7-42 du livre II. Gloses interlinéaires, id est arbori non putrido[2] — sterilis arbor — hispida— fortes — s(ubaudi) et — est— expellunt—cortices—parva apertio — foramen vel oculus — congungunt— humido — concrescere — profunde — s(ubaudi) cum — fructiferæ — surculi—id est post longum tempus—pro eo quod est mirata est — faba Siriaca — ab Ida silva — similitudinem — genus olivæ—genus olivæ—cum—viridi—oliva a tundendo dicta—illius regis—pira ex una parte rubentia— nigris—magnis —quæ volam implent — Italicis — insula — a Thaso insula — Ægyptiæ — Thasiæ vites — Mareotides— cocto — penetrabilisque— matura cito, fit roma(nus) s. grec. — impeditura — pro omni tempore posuit—quasi præcoquæ—laudem — sine minio id est rubore — optima — genus vitis. [earlier footnote 1 for Planche LXVIII] [2] Cette glose et quelques autres faciles à reconnaître sont d'une écriture postérieure.
PARIS. Bibliothèque nationale, latin 10307. Écriture du XE siècle., Volume de 246 feuillets (mes. 0, 34 sur 0, 26) contenant (f 50-245) les oeuvres de Virgile avec les commentaires de Servius. Auparavant se trouvent reliés la préface de Sedulius, le poème de Juvencus et l'épitaphe d'Elbert, archevêque d'York. Il a été consulté par Heinsius, Ryckius et Maswich (voir E. Thomas, Essai sur Servius, p. 304). Certaines variantes se trouvent mentionnées dans l'édition de Burmann avec la lettre R. Tout le volume est écrit sur deux colonnes
l'une contient le texte de Virgile, l'autre le commentaire de Servius. Il a appartenu jadis à la bibliothèque de Leyde, puis a porté, dans le Supplément latin, la cote 1653. Le f° 72 reproduit ici contient Géorgiques II, 66-99: « Fraxinus... ulla. » Le texte de Servius se rapporte aux vers 7-42 du livre II. Gloses interlinéaires, id est arbori non putrido[2] — sterilis arbor — hispida— fortes — s(ubaudi) et — est— expellunt—cortices—parva apertio — foramen vel oculus — congungunt— humido — concrescere — profunde — s(ubaudi) cum — fructiferæ — surculi—id est post longum tempus—pro eo quod est mirata est — faba Siriaca — ab Ida silva — similitudinem — genus olivæ—genus olivæ—cum—viridi—oliva a tundendo dicta—illius regis—pira ex una parte rubentia— nigris—magnis —quæ volam implent — Italicis — insula — a Thaso insula — Ægyptiæ — Thasiæ vites — Mareotides— cocto — penetrabilisque— matura cito, fit roma(nus) s. grec. — impeditura — pro omni tempore posuit—quasi præcoquæ—laudem — sine minio id est rubore — optima — genus vitis. [earlier footnote 1 for Planche LXVIII] [2] Cette glose et quelques autres faciles à reconnaître sont d'une écriture postérieure.